Les gynécologues protestent contre un amendement à la loi bioéthique. Celui-ci stipule que le test de dépistage de la trisomie 21 chez les femmes enceintes ne sera plus proposé systématiquement, mais seulement « lorsque les conditions médicales le nécessitent. » Le projet de loi, voté par l’Assemblée, va arriver au Sénat. « Si la loi passe en l’état, il y aura une vraie inégalité d’information des femmes », regrette Nicolas Fries, président du Collège français d’échographie fœtale dans Aujourd’hui en France.
Source : Aujourd’hui en France, 08/03/2011